Distribution et entrepôt - Bravilor
La X-series chez Bravilor Bonamat nettoie et fait gagner du temps
L’hygiène est importante pour Bravilor Bonamat, producteur de systèmes de préparation des boissons. Pour contribuer à la propreté des zones d’assemblage et de l’entrepôt, la société a acheté cette première presse il y a quatre ans. Elle en a désormais six.
La presse à balles X-series chez Bravilor Bonamat range et fait gagner du temps
Le carton était et reste le principal flux de déchets chez Bravilor Bonamat. La première presse à balles, une X10 X-series, était donc utilisée pour le carton. Elle a immédiatement mis un terme aux conteneurs en grillage métallique qui étaient utilisés auparavant et qui donnaient un aspect désordonné aux espaces de travail. Cette presse à balles a rencontré un tel succès que le modèle X25 a été introduit peu après pour le plastique souple, qui est un autre flux de déchets importants pour ce fabricant de machines à boissons. Au fil des années, chaque fois que le besoin s’en est fait sentir, une petite ou plus grande machine a été ajoutée ici et là dans la société, et c’est ainsi que le "parc de presses" actuel a été constitué.
Moins de travail – et c’est même amusant
Bramidan était le choix évident dès le départ. "Le faible encombrement des machines nous a séduits" explique Kees. "Ce ne sont pas des monstres énormes. Et comme aucun cylindre ne dépasse, c’est une unité fermée. Ce sont tous simplement des équipements esthétiques."
Pour le personnel d’assemblage, les presse à balles sont synonymes sont synonymes de travail en moins car il est inutile de découper et d'aplatir les cartons. Le carton entier rentre dans l’ouverture de chargement. Même le personnel des bureaux de Bravilor Bonamat aime mettre ses cartons dans les machines. Quand le caisson de la presse à balles est plein, quelqu'un appuie sur le bouton et la machine est à nouveau prête à recevoir le chargement de déchets suivant. Le plastique souple est collecté dans des sacs. Quand les sacs sont pleins, ils sont noués et mis directement dans la presse à balles.
L’important, c’est la production
Avant l’achat de la première presse à balles X25, les déchets étaient collectés un jour sur deux. Avec l’achat de chaque nouvelle presse à balles, ce délai s’est allongé. Kees van Muiswinkel n'a jamais calculé si Bravilor Bonamat réalisait un bénéfice grâce au carton et au plastique souple compactés. "Cela dépend du cours des matières recyclées, car évidemment ce cours évolue sans cesse. Pour nous, le seul aspect important est le fait que nos employés n’ont plus à consacrer beaucoup de temps au traitement des déchets. Ils peuvent donc se consacrer à ce qui est important : la production."
Il faut donc gérer les flux de déchets aussi efficacement que les flux de pièces.
— Kees van Muiswinkel, Directeur technique, Bravilor Bonamat
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